Après le blanchiment d’argent, l’heure est au verdoiement des entreprises. Vertueux : tout le monde en convient, mais s’il est encore impossible de passer au 100 % respect. Allant petit à petit vers le mieux, nous préparons des lendemains meilleurs.
Ne faut-il pas passer à une plus grande échelle en créant une agriculture sans but lucratif ?
C’est un peu le principe de la jachère : on laisse la terre « en repos » expression qui fait rire les écologues. Au contraire, l’agriculture sans but lucratif se doit d’être réparatrice, régénératrice.
Pas seulement une agriculture Bio ou durable, mais aussi, réparatrice des écosystèmes, compensatrice des dégâts qui l’ont endommagée.