C’est une étude israélienne qui publie dans PLOS ONE aujourd’hui ses résultats : les patients avec un déficit en vitamine D étaient 14 fois plus susceptibles de faire un Covid sévère ou d’être hospitalisés en soins critiques. Le taux de mortalité des sujets à taux de vitamine D insuffisants est de 25,6%, contre 2,3 % cVs les sujets avec des taux normaux. Ces différences persistent après ajustement de l’âge, du sexe et des maladies chroniques.
Vitamine D : outre le soleil, l’huile de foie de morue, les poissons bleus (pilchard, chinchard, maquereau, sardines, espadon et oeufs de poissons, mais aussi champignons sauvages qui ont vu la lumière : girolle, rosé des prés, etc.
Je vous rappelle que dès les premières vagues, nous recommandions d’augmenter le taux de vitamine D, d’autant que les sujets les plus fragiles (> 72 ans) sont globalement déficients en vitamine D selon INCA 3. Le 8 janvier 2021, 73 experts francophones et six sociétés savantes françaises*, insistaient sur l’importance d’un statut satisfaisant en vitamine D durant cette pandémie.
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DrorA., Morozov N., Daoud A., et al. Preinfection 25-hydroxyvitamin D3 levels and association with severity of Covid-19 illness. Plos One 2022