Nous décryptons l’importance toujours plus grande de la notion de bien-être et bien paraître au sein des nouvelles tendances de consommation influencées par la pandémie. Derrière le masque bien pratique, finalement, peuvent se camoufler un bouton, une rougeur, une ride, ou une grimace.
Passionnée de dermonutrition, nutritionniste, j’aime explorer cette région frontalière entre apparence/beauté et nutrition/santé où la capillarité a toujours été de mise.
Aujourd’hui, un constat : les deux domaines sont à l’opposé pour les questions juridiques et de règlementation (règles de composition, de pureté, d’allégations, etc… ) mais totalement entrelacées pour ce qui est du sourcing des actifs : les fruits, certains végétaux, herbes, plantes vont de l’un à l’autre. Les Oméga 3, 6 et 7 sont omniprésents. Les antioxydants se nomment tantôt vitamines, tantôt anti-âge, mais le résultat est le même. Lutter et éliminer les radicaux libres, ces électrons libres qui sont comme des roquettes lancées par le temps qui passe ou la pollution, et qui viennent altérer nos tissus : ça se voit de l’extérieur, ça se ressent de l’intérieur.
Alors oui : un filet d’huile de colza, de lin ou de chènevis feront autant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Croquer un cassis, déguster une mangue ou un abricot, une carotte ou du melon et vos tissus y puiseront de quoi être en bonne santé, et ça se verra.
Respectez votre peau : elle est le miroir de votre santé intérieur, c’est un bouclier fonctionnel qui puisera son aspect et son efficacité à l’intérieur. Ne négligez pas de boire de l’eau en quantité, de consommer une bonne quantité de fruits et légumes variés et d’ajouter au moins une cuillerée à soupe d’huile citées plus haut.
Béatrice de Reynal