Les chercheurs de l’Institut de génomique fonctionnelle de Lyon (IGFL, CNRS-ENS de Lyon) ont mis en évidence que la bactérie « Lactiplantibacillus plantarum » stimulait la croissance des souriceaux en sous-nutrition.
Pour cela, ils ont pris des souriceaux sevrés (21 jours en lactation avec la mère). Ils les ont alors placés en sous-nutrition protéique, avec un apport quotidien en protéines réduit de 75 % par rapport au régime standard. Et ils ont supplémenté la moitié des souris avec la bactérie, l’autre avec le placebo, jusqu’à 56 jours.
A la fin de l’expérience, celles n’ayant pas eu la bactérie sont 10 % plus maigres et 3 % à 4 % plus petites que les autres. La bactérie « Lactiplantibacillus plantarum » stimule donc la croissance des souriceaux en sous-nutrition.