Les nouvelles techniques génomiques (NGT) permettent de modifier le matériel génétique des plantes sans forcément introduire un gène d’une espèce différente, comme c’est le cas pour les OGM de première génération.
La Commission européenne propose de diviser les NGT en deux catégories :
- Celles dont les mutations génétiques qui leur ont été apportées pourraient se produire dans la nature. Elles seraient alors, considérées comme équivalentes aux plantes traditionnelles.
- Les autres traitées de la même manière que les OGM, avec évaluation des risques et demande d’autorisation.
Dans tous les cas, les NGT seraient interdites en agriculture Bio.