Utilisé depuis longtemps, le marketing d’influence ne fait qu’évoluer avec le temps et les circonstances.
Dans les années 1920, certaines marques ont su créer des personnages pour instaurer une relation de proximité avec les consommateurs.
Grâce aux évolutions technologiques, la digitalisation puis la pandémie, le marketing d’influence a pris de l’ampleur. Les marques se tournent désormais aussi, vers les influenceurs qui sont devenus grâce aux réseaux sociaux des supports publicitaires. 28 % des 18-24 ans affirment que les influenceurs/égéries ont une influence sur leurs achats.
En matière de RSE, l’égérie est souvent un meilleur vecteur, si tant est que les marques choisissent un bon élément : Philippe Etchebest ou Cyrille Lignac sont, en matière d’alimentation de bons représentants des marques côté RSE.
Mais les Français peinent encore à attribuer une bonne ou une mauvaise responsabilité environnementale ou sociale, aussi la personnalité choisie pour représenter la RSE doit partager les mêmes valeurs que la marque.
Cependant, le taux de connaissance et d’attribution RSE va croître dans les prochaines années, les jeunes générations étant plus sensibles aux questions environnementales. Le paradigme pourrait évoluer également.
https://fr.yougov.com/topics/consumer/articles-reports/2022/11/24/le-marketing-dinfluence