Le masque permet de faire la gueule ou même de bailler en réunion : c’est chouette. Il permet aussi de faire des économies de dentifrice, de dentiste ou de rouge à lèvre. Il permet de manger de l’ail, de boire de l’alcool et même du Champagne (qui donne une haleine de phoque immédiatement identifiable dès la première gorgée). Il permet de ne plus procéder à ces rafales de bisous du style « fricassée de museaux » (ici on en fait 3, moi j’en fait 4…), et par conséquence directe, d’éviter les miasmes et virus, angines et rhumes, gastro et herpès des amis et connaissances. Economie de santé, d’espérance de vie et de frais médicaux.
Le masque permet de passer inaperçu dans une foule connue et même sur les photos des radars. il permet de mieux supporter les odeurs corporelles fatiguées dans le métro ou le rer, les relents des parkings puants et même de supporter l’odeur de serpillère des cages d’escalier.
Moi, je l’ai adopté.